Comment vaincre le syndrome de la page blanche du copywriter ?

T’as peur d’écrire une connerie et de ne pas plaire à ton lecteur ?
Tu as envie de créer le meilleur contenu de la Terre-qui-tue
Et tu ne sais pas comment t’y prendre ?

 

Ça tombe bien.
Parce que moi non plus.
Je te le promets.
Je ne sais jamais ce que je vais écrire.

 

Je suis juste mon intuition, mon ressenti ou mes idées du moment.
Et j’écris.
Même si j’ai le sentiment que c’est mauvais.

 

Pourquoi Coach ?
Parce que j’ai pondu du texte pendant que toi tu te prenais la tête
à savoir quel type de contenus écrire.

 

Et quand j’ai pas d’idées du tout.
J’écris.
Tout ce qui me vient à la tête. Et dans le cœur.
(Presque 80 millions de connexions neuronales, c’est pas négligeable) .
Même si ça n’a rien à voir avec le sujet de ce blog.

 

Et encore.

J’ai la conviction que tout est lié.

Que même ma manière de cuisiner va avoir un impact sur ce blog.
Et d’autres gens sérieux l’ont pensé avant moi.
Ça s’appelle l’approche systémique.
Une partie fait parti du Tout et vice versa.

Et te parler d’approche systémique
Pour expliquer comment tuer la page blanche,
C’était pas prévu.

 

Mais je ne fais juste que suivre mon article.
La trame de mon histoire.

 

Après j’ai quelques règles personnelles.

  • Je fais le nécessaire pour écrire dans un français le plus correct, (si tu sais pas pourquoi, clique ici)
  • J’ai très souvent un message que je veux te faire passer, Coach.
    Et quel que soit la manière dont je termine cet article, j’ai toujours ce message en tête.
  • Il m’arrive aussi d’écrire ce qui vient sous le coup des émotions.
    Dans mon travail d’écriture, j’aime alterner entre ma tête et mon cœur.
  • Mon article et mon message s’adresse toujours à la même personne : Toi, Coach.
    Car je te connais personnellement Coach.

 

Après, c’est moi.
Mon style littéraire.
Ma personnalité.

 

Je ne cherche pas à plaire à tout le monde sur le web.
Car comme dans la vie tous les jours,
T’as des gens qui vont pas saquer ma gueule dès les premières secondes.

 

Donc je fais de la polarisation.

Et c’est tout l’artiste.

 

Une dernière chose avant que j’oublie :
Ne cherche pas à
Essayer, tenter ou même oser…quel que soit le mot ou l’expression derrière.

Fais-le.
Même si c’est nul au départ.
Sois le plus imparfait quand tu commences quelque chose.

😉

PS : Besoin tout de même d’un antidote anti page blanche ?
Clique-ici.